--NEWSLETTUX--

La Gazette du GAM
N° 43 - février 2010

 

GRADUS AD MUSICAM

met le feu à l'ARSENAL

Une musique envoûtante, une flambée d'émotion

OGORA vous saisit par le cœur et ne vous lâche plus. Tous ceux qui ont déjà entendu cette musique ensorcelante ne se lassent pas de l'entendre encore et encore. GRADUS AD MUSICAM l'interprètera à nouveau dans la merveilleuse salle de l'Arsenal de Metz.

Cette composition extraordinaire, écrite par Etienne PERRUCHON pour chœur mixte, chœur d'enfants, orchestre de cuivres et orchestre symphonique, a servi de support au film DOGORA de Patrice Leconte, sorti en 2004. GRADUS AD MUSICAM fut le premier ensemble musical a présenter cette œuvre en version de concert le 16 mai 2006 salle Poirel à Nancy.

Le film DOGORA de Patrice Leconte a pour cadre le Cambodge et c'est pourquoi ce concert sera réalisé à l'initiative et en partenariat avec l'association Pour un Sourire d'Enfant au profit des chiffonniers de Phnom Penh. Ce concert exceptionnel sera donné dans le cadre magnifique de l'Arsenal de Metz.

Une musique tempête qui a servi de support au film événement de Patrice LECONTE, une enivrante symphonie d'images musicales. Chœur et Orchestre au service d’une incomparable puissance émotionnelle pour le sourire de tous les enfants.

DOGORA,Suite populaire dogorienne pour chœur, chœur d'enfants, solistes, orchestre symphonique & orchestre d'harmonie en 21 tableaux

Chœurs d'enfants des collèges Emile-Gallée d'Essey-lès-Nancy, Guynemer et Chopin de Nancy
Solistes & Chœur Symphonique GRADUS AD MUSICAM
Ensemble de cuivres & Orchestre Symphonique GRADUS AD MUSICAM
Direction : François LEGÉE

Dimanche 7 mars 2010 à 17h
Arsenal, Metz

Tarif unique : 22€

Réservations :
Arsenal - 3 avenue Ney - 57000 Metz
Tel : 03 87 74 16 16

Renseignements : 03 83 36 85 98

 


 

DOGORA A L'ARSENAL DE METZ
Un chef-d'œuvre en son écrin

itué en plein cœur du quartier de la citadelle, l’Arsenal de Metz se présente aujourd’hui comme un grand bâtiment de style néo-classique fait d’une très belle pierre, de marbre, de bois et de bronze. Il a été ainsi construit au XIX° siècle par Napoléon III pour servir, comme son nom l’indique, d’arsenal, c’est à dire d'atelier de fabrication et entrepôt d’armes et de matériel militaire.La grande salle de l'Arsenal de Metz

Totalement ré-aménagé depuis les années 1980 par le célèbre architecte espagnol Ricardo Bofill, qui a voulu associer racines et modernité, l’Arsenal de Metz offre une grande salle de concert de 1350 places et de multiples petites salles de spectacles et d’expositions.

Très connu en Europe, l’Arsenal offre à la fois un décor magnifique et une acoustique exceptionnelle qui fait rêver les plus grands musiciens et réjouit les mélomanes. Par ailleurs, c’est l’une des rares salles de concert où le public entoure et surplombe totalement la scène, pour plus d’harmonie au cœur de la musique.

Un bâtiment militaire du XIX° siècle où s'entassaient, il y a cent ans, canons, poudre et munitions, fait aujourd'hui vivre la musique, le chant, la danse et les arts plastiques. Metz conjugue ainsi sa tradition militaire ancestrale avec une vocation artistique dont l'Arsenal est le principal pilier.

 

Chantez-vous dogorien ?
Une langue créée pour chanter

es enfants de DOGORA sont nés de l'imagination du compositeur Etienne PERRUCHON, qui les a inventés en même temps que la musique. Ce sont des enfants comme vous et moi, mais qui ont en propre et en commun une langue, le dogorien, qui, contrairement à toutes les autres langues, sert uniquement à chanter. En effet, on ne peut pas se servir du dogorien pour dire des platitudes ou des méchancetés, pour se chamailler ou s'invectiver, pour proférer des menaces ou des insultes. Et puisqu'on ne peut pas le parler, mais seulement le chanter, le dogorien ne peut servir qu'à exprimer des choses importantes. Le dogorien est en effet un langage du cœur et une modalité de l'émotion.Dogora

Pour en savoir plus sur Dogora, cliquez sur les liens ci-dessous :
     • Dogoramania
     • Etienne Perruchon
     • Dogora, le film

Corinne Kloska

Voix d'enfants choristes

" Dogora est une musique impressionnante, que j'ai découverte grâce à ma professeure de musique. Pour moi qui n'avais jamais participé et regardé une symphonie musicale auparavant, chœur et orchestre m'ont fait frissonner, j'ai découvert que j'avais beaucoup d'émotion et de sensibilité pour ce magnifique spectacle. "  Benjamin, 6°3

"Je trouve que c'est une bonne idée que les paroles ne veulent rien dire, car tout le monde peut imaginer différentes choses."   Cindy, 6°3

" J'adore DOGORA. Il y a des morceaux qui me font peur, comme "YA TCHUNGA YA". Il y en a qui ressemblent à une valse comme "MI POSHKA", il y en a qui me font l'impression que je suis en Chine ou au Japon comme "SOUKIA". Bon bref, j'adore DOGORA."   Mathieu, 6°3

" On trouve que Dogora est une très belle musique, émouvante : quand on chante, que la musique soit forte, douce, lente ou rythmée, ça nous emporte.
Les paroles sont parfois compliquées à chanter surtout quand ça va vite, parce qu'il faut quand même articuler (même si ça ne veut rien dire). "
  Célestine et Andréa, 6°3

 

 

Pour un Sourire d'Enfant

n jour d'octobre 1995, des petits chiffonniers prennent la main de Christian des Pallières, jeune retraité en mission humanitaire, pour l'emmener sur leur principal lieu de travail, la plus grande décharge de Phnom Penh. Il y découvre, effaré, le sort de centaines d'enfants travaillant, de jour comme de nuit, à ramasser les ordures, dans des conditions d'hygiène épouvantables. Et, le pire, des enfants en train de manger dans ces ordures ignobles ...
Sans soins, sans école, sans nourriture suffisante, ils n'ont aucun espoir. Christian et son épouse Marie-France, décident alors de tout faire pour les sortir de la misère. L'aventure commence ainsi, avec une vingtaine d'enfants, au printemps 1996.

Le but premier de PSE, après la nourriture donnée aux enfants, afin de ne plus les voir manger dans les ordures, a été de les scolariser. Mais la scolarité ne suffisait pas. Pour les retirer définitivement de la misère, il fallait leur donner un vrai métier et donc, une formation professionnelle de qualité.

Actuellement, PSE scolarise plus de 4000 enfants et donne une formation professionnelle à 1500 jeunes.

Pour en savoir plus sur PSE , veuillez cliquer ici

 

 

Musiques françaises

e piano est décidément un instrument extraordinaire, surtout sous les doigts de pianistes virtuoses & inspirés. Et Chopin a aussi écrit ce merveilleux concerto n°1 pour piano & orchestre juste avant de quitter la Pologne, son pays de cœur, qu'il n'allait jamais revoir. Les spectateurs ont su gré à Corinne Kloska, l'interprète inspirée de ce chef-d'œuvre, de son ardeur romantique et de son ébouriffante virtuosité, cette façon de faire virevolter les doigts sur le clavier qui ne manque jamais d'éblouir le spectateur. Elle a su en même temps communiquer à son public la passion de Chopin qu'elle démontre depuis fort longtemps en concert et dans ses enregistrements.

Corinne KLOSKA vient d'enregistrer un nouveau disque Chopin intitulé « Autour des Scherzi » qui paraîtra au second trimestre 2010 et est proposé en souscription.

Pour en savoir plus sur Corinne Kloska et afficher le bulletin de souscription, veuillez cliquer ici

Corinne Kloska

Le concert avait commencé par la Fanfare liturgique d'Henri Tomasi, une œuvre dense, puissante et originale qui a permis tout à la fois d'apprécier dans sa pleine dimension l'ensemble de cuivres de GRADUS AD MUSICAM et de mettre en valeur un compositeur qui n'eut jamais pour souci & ambition que d'honorer la musique et véhiculer sans artifice inutile ses émotions artistiques.

Puis Berlioz fut à l'honneur avec les Nuits d'été, un cycle de mélodies intimistes dont Mélanie Génin a donné une interprétation habitée, tendue et délicate. Magnifiquement drapée d'une robe mordorée, la jeune soprano a parfaitement épousé la poésie de ces délicieuses mélodies composées sur des poèmes de Théophile Gautier :

Le printemps est venu ma belle,
C'est le mois des amants béni,
Et l'oiseau, satinant son aile,
Dit des vers au rebord du nid.

Oh! viens, donc, sur ce banc de mousse
Pour parler de nos beaux amours,
Et dis-moi de ta voix si douce,
Et dis-moi de ta voix si douce : "Toujours".

(extrait de La Vilannelle)

PROCHAINS CONCERTS

 

 

Schubert au piano par Gustav Klimt


Stabat Mater

Après la Nuit des Requiem, GRADUS AD MUSICAM visite quelques-uns des plus beaux Stabat Mater, connus ou inconnus. Que ce soit en soliste (contre-ténor dans Vivaldi) ou en chœur (Lachner et Poulenc), le Stabat Mater est sans nul doute un des textes sacrés les plus poignants, car il reflète à la fois la douleur et la compassion d’une mère. Donné l’an passé en version soliste, Pergolèse sera l’occasion d’entendre les jeunes voix du Chœur Junior du GAM.

Inna JESKOVA, soprano (Poulenc)
Michel MARQUEZ, contre-ténor (Vivaldi)

Dimanche 14 mars 2010 à 17h
Eglise Saint Léon, NANCY

 

Jan Van Eyck - les anges musiciens


La Donna ideale

Inconnue et familière, on rêve d'Elle, - « ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre », - de pureté, de mystère ...Et comme un acte d'amour, alors le chant s'élève ... Savantes ou populaires, les musiques de Mozart, Brahms, Falla, Bernstein, Weill, Berio ... parleront de transparence des cœurs et de fusion des corps.

Célia PIERRE, soprano
Michel MARQUEZ, contre-ténor

Samedi 5 juin 2010 à 20h45
Salle POIREL, NANCY

 

Un bon plan : la Carte Jeune Nancy Culture
1 place achetée = 1 place offerte
pour un autre concert à la salle Poirel

Pour en savoir plus sur la Carte Jeune Nancy Culture, veuillez cliquer ici

 
www.gradus-ad-musicam.com
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